Marathon : bienfaits, risques et préparation naturelle

Le marathon fascine autant qu’il impressionne. Véritable symbole de dépassement de soi, cette épreuve d’endurance attire chaque année des milliers de coureurs, qu’ils soient amateurs ou aguerris. Mais derrière les 42,195 km se cache une aventure humaine et physique exigeante. Pour relever ce défi en toute sécurité, il est important de connaître les effets de la course sur le corps, d’en comprendre les bénéfices et de se préparer progressivement. Explorons ensemble les clés pour aborder le marathon avec équilibre, lucidité et plaisir.

Temps de lecture : +4 min.

Qu'est-ce qu'un marathon ?

Courir un marathon, c’est bien plus qu’une course de 42 kilomètres : c’est un défi d’endurance exceptionnel qui met à l’épreuve le corps et l’esprit.

Une course mythique d’endurance

Le marathon est l’une des épreuves d’endurance les plus célèbres au monde, captivant coureurs et spectateurs par sa distance et son histoire.

Quelle est la définition d’un marathon ? 

Le marathon incarne une épreuve emblématique, à la fois physique et symbolique, qui fascine coureurs et spectateurs à travers le monde. Il désigne une course à pied sur route de 42,195 kilomètres, reconnue comme l’épreuve reine de l’endurance. Le marathon requiert une préparation physique et mentale spécifique, une gestion métabolique fine et une résistance émotionnelle importante. Il s’agit d’une épreuve d’endurance extrême dans laquelle chaque coureur apprend à se connaître, à écouter son corps et à repousser ses limites avec discernement, symbole universel de persévérance et de dépassement de soi.

Les origines du marathon : entre mythe et réalité

L’origine du marathon s’inspire d’un épisode célèbre de la Grèce antique, mais son récit relève davantage du mythe que du fait historique. Selon la légende, le messager Philippidès (ou Phidippidès) aurait couru d’un seul trait depuis la plaine de Marathon jusqu’à Athènes, soit une quarantaine de kilomètres, pour annoncer la victoire des Grecs sur les Perses en 490 avant J.-C. Épuisé par l’effort, il se serait effondré après avoir délivré son message.

En réalité, les textes anciens, notamment ceux d’Hérodote, ne mentionnent pas ce trajet entre Marathon et Athènes. Ils rapportent plutôt que Philippidès, coureur professionnel au service des cités grecques, aurait parcouru plus de 200 kilomètres entre Athènes et Sparte pour demander du renfort avant la bataille. Ce n’est que bien plus tard, au XIXe siècle, que la légende du messager mourant fut popularisée par les historiens et les premiers organisateurs des Jeux modernes, inspirant alors la création du marathon d’Athènes en 1896. Ainsi, derrière la légende, le marathon rend hommage à la ténacité humaine face à l’effort et à la distance.

Le marathon, discipline olympique et symbole mondial

Reconnu comme discipline olympique dès 1896, le marathon s’est imposé comme l’une des courses les plus prestigieuses et respectées de l’athlétisme. Chaque année, des centaines de milliers de coureurs s’élancent sur les routes du monde entier, de Paris à New York, pour vivre cette expérience unique, où la résistance physique rejoint la dimension mentale et émotionnelle de l’effort.

Mais pourquoi 42,195 km, exactement ?

La distance officielle du marathon, soit 42,195 kilomètres, n’a pas été fixée au hasard. Lors des Jeux olympiques de Londres en 1908, le roi Édouard VII et la reine Alexandra souhaitèrent que la course démarre depuis le château de Windsor et se termine dans le White City Stadium, devant la loge royale. Cette configuration représentait exactement 42,195 kilomètres, soit 385 mètres de plus que la distance initialement prévue. Ce parcours particulier, adopté pour des raisons protocolaires, est devenu la norme internationale en 1921. Depuis, cette distance symbolique unit tous les marathons du monde autour d’une même référence.

Quelle est la durée d’un marathon ?

La durée d’un marathon varie considérablement selon le niveau du coureur. Les athlètes d’élite bouclent la distance en environ 2 heures, tandis que la majorité des coureurs amateurs mettent entre 4 et 5 heures, parfois davantage selon leur rythme et leurs objectifs. Plus que le chrono, l’essentiel réside dans la régularité de l’effort, la gestion de l’énergie et le respect de ses propres limites. Terminer un marathon, quel que soit le temps réalisé, reste une véritable victoire personnelle.

Ce que cela représente pour le corps

Courir un marathon soumet le corps à une épreuve d’endurance intense. Pendant plusieurs heures, le cœur, les muscles, les poumons et le métabolisme sont sollicités de façon continue pour maintenir l’effort.

Le rythme cardiaque s’accélère pour assurer un apport suffisant d’oxygène aux muscles, tandis que la respiration s’intensifie et que la circulation sanguine est optimisée.

Les jambes (quadriceps, mollets, ischio-jambiers et fessiers) absorbent des milliers d’impacts, ce qui exige une musculature solide et un entraînement progressif pour protéger les articulations et les tissus.

Au fil des kilomètres, les réserves de glycogène s’amenuisent, poussant l’organisme à utiliser davantage les graisses comme source d’énergie. Cette bascule métabolique, plus lente et moins efficace, explique la fameuse baisse de régime autour du 30ᵉ kilomètre, souvent appelée le "mur du marathon".

Participer à un marathon demande donc un équilibre entre préparation physique, gestion de l’effort, concentration, nutrition, hydratation et récupération. Chaque système du corps contribue à cet exploit d’endurance.

Pourquoi courir un marathon ? Les bienfaits sur le corps et l’esprit

Un renforcement global de l’organisme

L’entraînement progressif pour un marathon améliore la santé cardiovasculaire et musculaire. Le cœur devient plus efficace, la circulation sanguine se régularise et la fréquence cardiaque au repos diminue. La densité capillaire augmente, ce qui favorise une meilleure oxygénation des muscles et un métabolisme énergétique plus stable.

Les jambes gagnent en endurance et en tonicité, tandis que les tendons et les os se fortifient grâce à la répétition de l’effort. Ces adaptations contribuent à préserver la santé du système circulatoire et à réguler le métabolisme du glucose et des lipides.

Des effets positifs sur le mental

Le marathon n'impacte pas seulement le corps, il forge aussi le mental. La préparation développe la résilience, la discipline, la confiance en soi, la concentration et la capacité à gérer le stress. Chaque séance réussie renforce le sentiment d’accomplissement et la détermination, tandis que la structure d’un plan d’entraînement apporte un cadre rassurant dans le quotidien.

La course à pied stimule également la production d’endorphines, de dopamine et de sérotonine, hormones et neurotransmetteurs liés au bien-être, à l’apaisement et parfois à un sentiment d’euphorie. Cette régulation chimique contribue à l’équilibre émotionnel et à une meilleure gestion des défis mentaux.

L’impact sur le bien-être global

L’entraînement régulier améliore la qualité du sommeil, régule le rythme circadien et favorise un repos plus profond et réparateur. Ce sommeil de qualité est essentiel pour la récupération musculaire, la sécrétion hormonale et l’équilibre nerveux.

L’équilibre hormonal global profite également de cette pratique, car la course à pied soutient le bon fonctionnement des systèmes nerveux, immunitaire, respiratoire et digestif. Sur le long terme, cette synergie renforce la vitalité et la capacité du corps à s’adapter aux efforts.

La pratique régulière de la course à pied contribue aussi au maintien d’un poids stable, à une meilleure gestion émotionnelle et à une sensation durable de bien-être général.

Les limites et risques d’un effort extrême

Les déséquilibres possibles

Malgré ses nombreux bienfaits, le marathon peut fragiliser l’organisme lorsqu’il est mal préparé ou trop intensif. Le surmenage représente le principal risque : enchaîner les entraînements sans récupération suffisante épuise le système nerveux, affaiblit les défenses naturelles et favorise les douleurs chroniques.

Les blessures musculo-squelettiques sont fréquentes : tendinites, périostites, entorses, lésions musculaires ou fractures de fatigue. Les genoux et les chevilles sont particulièrement exposés, soumis à des impacts répétés à chaque foulée.

Sur le plan métabolique, des carences peuvent survenir, notamment en Fer, Magnésium ou Vitamines B, surtout en cas d’alimentation restrictive ou végétarienne mal équilibrée. Le système digestif peut lui aussi être perturbé, en raison d’une déshydratation ou d’une mauvaise tolérance aux produits énergétiques consommés pendant la course.

Les signaux d’alerte à ne pas ignorer

Certains signes doivent alerter : fatigue persistante malgré le repos, élévation du rythme cardiaque au repos, troubles du sommeil, irritabilité ou baisse de motivation. Ces symptômes traduisent souvent un déséquilibre entre charge d’entraînement et récupération.

Les douleurs tendineuses ou articulaires ne doivent pas être négligées. Poursuivre l’effort malgré la douleur peut entraîner des lésions durables. Chez certaines femmes, un déséquilibre hormonal peut aussi apparaître, notamment en cas de déficit énergétique ou de surmenage prolongé.

Après un marathon, il est également possible d’observer une fatigue cardiaque transitoire, liée à la sollicitation extrême du muscle cardiaque. Ce phénomène reste réversible chez les personnes bien préparées, mais il souligne l’importance d’un suivi médical régulier.

Comment prévenir ces déséquilibres

La prévention repose sur trois axes essentiels : progressivité, récupération et hydratation. Augmenter le volume d’entraînement par étapes, intégrer des jours de repos et diversifier les types d’efforts limitent efficacement les risques. Alterner courses longues, séances de vitesse, renforcement musculaire et travail de mobilité permet de solliciter l’ensemble des groupes musculaires, de prévenir les déséquilibres et de réduire le risque de blessures.

Une hydratation régulière avant, pendant et après l’effort, associée à un apport suffisant en électrolytes, aide à maintenir l’équilibre hydrique et à préserver la fonction musculaire.

Enfin, une alimentation riche en nutriments essentiels soutient la performance, favorise la récupération et prévient les carences. Un suivi individualisé, notamment pour les coureurs préparant plusieurs marathons par an, permet de préserver durablement la santé et le plaisir de courir.

Préparer son corps naturellement pour un marathon

L’entraînement progressif et intelligent

Une préparation réussie repose sur la régularité, la progressivité et la diversité des efforts. Idéalement, prévoyez entre 12 et 16 semaines d’entraînement avant la course pour permettre à votre organisme de s’adapter progressivement et de renforcer son endurance.

Alterner les séances d’endurance fondamentale (course à allure modérée) pour développer la base aérobie, les sorties longues pour habituer le corps à l’effort prolongé, les séances de seuil et de VMA (fractionné, tempo) pour améliorer la vitesse, la puissance et la capacité cardiovasculaire, ainsi que le renforcement musculaire pour stabiliser les articulations et réduire le risque de blessure, permet de structurer une progression harmonieuse et sécurisée.

Les jours de repos font partie intégrante de la progression : c’est durant ces phases que les tissus se régénèrent et que les adaptations physiologiques s’installent durablement. Trois à cinq séances hebdomadaires suffisent selon votre niveau et vos objectifs, à condition de veiller à une bonne alternance entre entraînements intenses et footings de récupération.

Soutenir l’organisme avec des nutriments clés

Certains micronutriments sont essentiels au bon déroulement de la préparation et à la récupération.

Le Fer participe au transport de l’oxygène dans le sang ; une carence entraîne une fatigue marquée et une baisse de performance, surtout chez les femmes ou les coureurs suivant une alimentation végétarienne.

Le Magnésium intervient dans la contraction musculaire, la production d’énergie et la résistance au stress. Les pertes augmentent avec la transpiration et l’entraînement intensif.

Les Vitamines du groupe B soutiennent la production d’énergie et la régénération musculaire, tandis que les Oméga-3 (présents dans les poissons gras tels que le saumon, les sardines et les maquereaux, les graines de Lin et les noix) contribuent à la souplesse des membranes cellulaires et participent à la récupération musculaire. Une alimentation équilibrée, riche en légumineuses, fruits secs, céréales complètes, graines et poissons gras, permet de couvrir la majorité des besoins. Dans certains cas, une complémentation temporaire peut être envisagée, notamment en période d’entraînement intensif.

Les soutiens naturels pour la performance et la récupération

Certaines plantes, protéines et superaliments peuvent soutenir l’organisme pendant la préparation et favoriser une récupération optimale après l’effort, en accompagnant le corps dans ses phases de stress, d’adaptation et de régénération.

Les plantes adaptogènes

Cette synergie associe deux extraits puissants : le Safran (Safr’Inside™) et la Rhodiola (Rhodiolife®). Le Safran contribue à réguler l’humeur, soutenir l’équilibre émotionnel et favoriser un sommeil réparateur ; la Rhodiola est une plante adaptogène qui aide l’organisme à s’adapter au stress physique et mental, à limiter la fatigue et à soutenir l’endurance. En période d’entraînement intense, ce complément aide à mieux gérer la tension nerveuse liée à l’effort et à préserver un bon équilibre mental et physique.

→ Prendre 1 gélule par jour, à avaler avec un verre d'eau.

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Précautions : Usage réservé à l’adulte, à consommer dans le cadre d’une alimentation équilibrée et d’un mode de vie sain, en respectant la dose recommandée. Déconseillé pendant la grossesse, l’allaitement ou en cas de traitement antidépresseur.

Les protéines végétales

La poudre de Protéines d’Avoine BIO est une source végétale complète en acides aminés essentiels, idéale pour compléter l’alimentation des sportifs, notamment après l’effort. Elle soutient la réparation musculaire, contribue au maintien de la masse maigre et favorise la récupération.

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→ Prendre 1/2 à 2 cuillères à soupe à diluer dans un verre d'eau ou à incorporer dans vos smoothies, shakes, ou préparations culinaires.

Les superaliments

La Spiruline est une source naturelle de Fer, de Magnésium, de vitamines B et d’antioxydants. Riche en micronutriments essentiels, la Spiruline soutient la régénération cellulaire, aide à limiter le stress oxydatif et favorise la vitalité générale. Pendant la préparation sportive, elle participe au maintien des réserves nutritionnelles et à une récupération plus efficace.

→ Commencer par 3 comprimés par jour pendant quelques jours, puis augmenter progressivement jusqu’à 5 à 6 comprimés, voire jusqu’à 10 selon les besoins, à avaler avec un grand verre d’eau.

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Précautions : réservé à l’adulte. À consommer dans le cadre d’une alimentation équilibrée, sans dépasser la dose recommandée. Déconseillé en cas de grossesse, d’allaitement ou de troubles hépatiques, musculaires, d’hémochromatose, de phénylcétonurie ou d’excès d’acide urique. Contient de la phycocyanine, susceptible de provoquer des réactions allergiques.

Les électrolytes

Cette poudre d’électrolytes, enrichie en eau de Coco, taurine et quatre minéraux essentiels (Magnésium, Potassium, Calcium, Zinc), aide à compenser les pertes liées à la transpiration, soutient la fonction musculaire et favorise une hydratation optimale avant, pendant et après l’effort.

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→ Diluez 1 cuillère doseuse (équivalent à 4,8 g) dans 500 mL à 1 L d'eau. Agitez bien avant de boire tout au long de l’effort et après l'effort.

Précautions : Réservé à l’adulte. Ne pas dépasser la portion recommandée. Déconseillé aux femmes enceintes, allaitantes, aux personnes âgées ou présentant une néphropathie. Tenir hors de portée des enfants.

Préparer, courir et récupérer : la routine complète du marathonien

Avant la course

Les jours précédant le marathon sont déterminants. Le sommeil doit être une priorité : couchez-vous tôt et veillez à dormir au moins 8 heures par nuit. Un repos de qualité favorise la concentration, optimise la récupération et limite les risques de blessure.

La veille, un dîner digeste et équilibré permet de maximiser vos réserves de glycogène. Privilégiez les glucides complexes (pâtes, riz, semoule, patate douce) accompagnés d’une protéine maigre (poisson, poulet) et de quelques légumes cuits. Évitez les plats gras et les sauces lourdes.

Le matin de la course, prenez votre petit-déjeuner environ 3 heures avant le départ : flocons d’Avoine, paincomplet, Banane, compote, Miel ou œufs. L’objectif est d’apporter de l’énergie durable sans alourdir la digestion.

L’échauffement prépare votre organisme à l’effort. Commencez par 5 à 10 minutes de marche active ou de trottinement, suivies de mobilisations articulaires (chevilles, hanches, épaules) et d’étirements dynamiques (balancements de jambes, rotations du bassin). Cette mise en route progressive élève la température corporelle, améliore la coordination et réduit le risque de blessure.

Pendant l’effort

L’hydratation est votre meilleure alliée. Buvez par petites gorgées toutes les 10 à 15 minutes, sans attendre la sensation de soif. Alternez eau pure et boisson contenant des électrolytes pour compenser les pertes minérales dues à la transpiration. Adaptez la quantité en fonction de la chaleur et de votre transpiration personnelle.

L’apport énergétique doit être anticipé et testé à l’entraînement. Les gels naturels à base de Dattes, Miel, sel marin et jus de Citron, ou les purées de fruits, apportent une énergie rapide et bien tolérée. Consommez un gel ou une portion énergétique toutes les 45 à 60 minutes, accompagné d’eau pour une assimilation optimale.

La gestion de l’allure conditionne la réussite. Évitez de partir trop vite, maintenez une vitesse régulière et écoutez vos sensations. Vers le 30ᵉ kilomètre, lorsque la fatigue s’installe, recentrez-vous sur votre respiration et fractionnez mentalement la distance restante. L’endurance mentale devient alors votre atout principal.

Après la course

La récupération commence dès la ligne d’arrivée. Marchez quelques minutes pour favoriser le retour veineux et évitez de vous asseoir immédiatement. Couvrez-vous pour prévenir le refroidissement, puis réalisez des étirements doux de 20 à 30 secondes sur les principaux groupes musculaires (mollets, quadriceps, ischio-jambiers, fessiers).

Côté nutrition, la priorité est de réhydrater et de reconstituer les réserves de glycogène. Buvez une eau riche en minéraux ou légèrement bicarbonatée, puis consommez rapidement une source de glucides (fruits, compote, barre énergétique). Dans l’heure suivant la course, optez pour un repas associant glucides et protéines dans un ratio d’environ 3:1 ou 4:1 : par exemple un smoothie Banane, Cacao cru et lait végétal enrichi en protéines.

La phase de récupération se poursuit plusieurs jours. Continuez à bien vous hydrater, dormez suffisamment et reprenez progressivement avec des séances légères de marche ou de footing. Un bain tiède ou un massage doux à l’huile d’Arnica peuvent aider à détendre les muscles et à apaiser les tensions résiduelles.

Recettes

Recette Shake récupération après le sport

Ingrédients avec balance

Pour 1 portion

Préparation

1

Verser les ingrédients dans un récipient haut.

2

A l'aide du batteur électrique, effectuer des mouvements de haut en bas pour homogénéiser la préparation

3

Verser la boisson dans un verre. C'est prêt pour être dégusté !

Ce shake protéiné au CBD hydrosoluble ravira les sportifs après leur séance, et leur permettra de récupérer en douceur !

Stick de massage délassant musculaire après le sport

Conseil

Les pelles complètes sont arasées : pour cela, passez une spatule ou une lame de couteau sur la pelle pour éliminer l'excès de produit.

Préparation

1

Dans un bol, transférez la phase A (beurre d'avocat + cire de candelilla + macérât d'arnica + cristaux de menthol).

2

Faites fondre l'ensemble au bain-marie à feu doux puis sortez le bol du feu.

3

Ajoutez la phase B (le reste des ingrédients) et mélangez à l'aide du mini-fouet ou d'une spatule pour bien homogénéiser.

4

Coulez votre préparation dans son stick (faites très légèrement réchauffer votre préparation si cette dernière est devenue trop épaisse) puis laissez refroidir à température ambiante.

Précaution : Le menthol pouvant être irritant et allergisant, lors de la manipulation, manipulez avec les gants. Faites un test de sensibilisation de 24 h minimum dans le pli du coude de votre préparation avant utilisation. Arrêtez l'application en cas de rougeurs et picotements importants. Tenir hors de portée des enfants. Ne pas utiliser chez les enfants de moins de 7 ans. Déconseillé aux femmes enceintes et allaitantes.

Stockez votre stick à l'abri de la lumière et de la chaleur.

* Conservation : bien conservé et fabriqué dans des conditions d'hygiène optimales, votre produit pourra se conserver au moins 6 mois.

Energy balls au collagène

Energy balls au collagène : collation saine et nourrissante pour accompagner la récupération.

Ingrédients avec balance

Préparation

1

Mixer tous les ingrédients dans un blender et former des boules avec les mains.

2

Placer 1h au frigo et déguster.

3

Se conserve au réfrigérateur.*

N.B : * environ 5 jours au réfrigérateur

Pour le bonheur de vos papilles !

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Petit + : Ces barres protéinées prennent soin de la jeunesse de votre peau grâce au Collagène Marin qu'elles contiennent.

Précaution d'usage

Avant d’entreprendre une préparation marathon, un bilan de santé est fortement recommandé, en particulier pour évaluer la fonction cardiaque. Un certificat médical de non-contre-indication est souvent exigé pour participer à une course officielle, et un électrocardiogramme ou un test d’effort peuvent être conseillés, surtout après 40 ans ou en présence d’antécédents cardiovasculaires.

Les coureurs présentant des douleurs articulaires ou des troubles biomécaniques doivent renforcer les muscles stabilisateurs et choisir des chaussures adaptées à leur foulée. En cas de pathologies chroniques (diabète, hypertension, problèmes cardiaques), un suivi médical régulier est indispensable pour adapter l’entraînement et la gestion des traitements.

Enfin, écouter ses sensations reste essentiel : douleurs persistantes, fatigue anormale, palpitations, vertiges ou essoufflement inhabituel nécessitent une consultation immédiate. Aucune performance ne justifie de mettre sa santé en danger.

Conseil de l'expert

Prenez le temps de choisir des chaussures parfaitement adaptées à votre foulée et à votre morphologie, et assurez-vous de les avoir suffisamment rodées avant le marathon. Testez-les sur plusieurs sorties longues avant le jour J pour vérifier leur confort, leur fiabilité et limiter le risque de blessures.

En savoir plus

Pourquoi ça s'appelle un marathon ?

Le nom vient de la plaine de Marathon, en Grèce, où la célèbre bataille s’est déroulée en 490 avant J.-C.

Peut-on courir un marathon sans préparation ?

Non, absolument pas. Courir un marathon sans préparation adéquate expose à des risques majeurs : blessures graves, épuisement, troubles cardiovasculaires et expérience traumatisante. Un minimum de 12 à 16 semaines de préparation progressive est indispensable pour permettre à votre corps de s'adapter aux contraintes de cette distance.

Peut-on courir un marathon en adoptant une alimentation végétale ?

Oui, à condition de veiller à un apport suffisant en protéines, Fer, Vitamines B12 et Oméga-3.

Article rédigé par Stéphanie Catrysse, Naturopathe

Stéphanie Catrysse est naturopathe (certifiée par la FENA), praticienne en massage bien-être et drainage lymphatique et conseillère en développement personnel. 

Passionnée de médecine douce, elle exerce avec une approche holistique de la santé.

Bibliographie

1

CHUV (2018). "Marathon - Centre de médecine du sport"

2

Marathons.fr (2025). "Course à pied : État des lieux, risques et prévention"

3

Orléans Marathon (2024). "Courir un marathon : conseils pour la santé"

4

PMC (2021). "Plant Adaptogens—History and Future Perspectives"

5

PMC (2023). "A functional evaluation of anti-fatigue and exercise performance improvement following vitamin B complex supplementation in healthy humans"

6

Marathons.fr (2024). "Les Oméga 3 et le sport"

7

Haute Autorité de Santé (2022). "Consultation et prescription médicale d'activité physique à des fins de santé chez l'adulte"

8

National Geographic France (2025). "Non, le marathon n'a pas été inventé en Grèce"