Oméga-3 EPA/DHA : des acides gras qui vous veulent du bien
Ces acides gras venus de la mer ne sont pas juste "bons pour la santé" : ils rééquilibrent l’organisme en profondeur. De nombreuses études confirment aujourd’hui leur rôle clé contre les dérèglements métaboliques.
Les oméga-3 EPA et DHA sont des lipides essentiels qu’on retrouve naturellement dans les poissons gras comme le saumon ou les sardines. Leur rôle ? Maintenir la fluidité des membranes cellulaires, réguler les réponses inflammatoires, soutenir la fonction cardiaque et le métabolisme du sucre et des graisses. Le problème : notre alimentation moderne, souvent trop riche en oméga-6, en est largement déficitaire. Résultat ? Un terrain inflammatoire favorable aux déséquilibres métaboliques. On peut désormais renforcer facilement ses apports en EPA et DHA, quelle que soit son alimentation.

L’étendue de leur bienfaits : une vue d’ensemble soutenue par la science
Une revue d’études publiée en 2024 (1) a compilé les résultats de 10 ans de recherches cliniques. Bien que ces données scientifiques ne prévalent pas d'allégations santé autorisées, la revue en question a montré que la supplémentation en EPA et DHA permettrait d’agir sur les désordres métaboliques comme réduire les triglycérides et le cholestérol total, améliorer la sensibilité à l’insuline, diminuer les marqueurs inflammatoires ou optimiser la fonction mitochondriale.
Des bénéfices observés chez les personnes atteintes d’obésité, de diabète de type 2, de stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD) et de syndrome métabolique (1). Les oméga-3 peuvent se positionner comme un levier de fond.
Et leurs bienfaits ne s’arrêtent pas là : le DHA contribue au fonctionnement normal du cerveau et au maintien de la vision normale. Avec l’EPA, ils participent à une fonction cardiaque normale.
Comment agissent les oméga-3 dans le corps ?
Les EPA et DHA s’opposent à la formation de molécules pro-inflammatoires (comme certaines prostaglandines) et favorisent la production de médiateurs qui apaisent l’inflammation. En s’intégrant aux membranes cellulaires, ils améliorent aussi la communication entre cellules et la fluidité membranaire, essentielle au bon fonctionnement de nombreux organes.
Quelle dose d’oméga-3 pour quels effets ?
Les apports recommandés sont d’au moins 250 mg/jour, mais dans les études cliniques, les doses efficaces montent souvent entre 1 à 4 g/jour. Autre point crucial : veiller à un bon ratio oméga-3 / oméga-6. Un excès d’oméga-6 (présents dans beaucoup d’huiles industrielles) peut inhiber l’effet des EPA/DHA.
L’alternative vegan qui change la donne
Bonne nouvelle : plus besoin de consommer du poisson pour bénéficier des effets des oméga-3. Le complément Oméga-3 Vegan d’Aroma-Zone offre une source végétale d’EPA et de DHA, extraite de microalgues Schizochytrium sp., riches en acides gras polyinsaturés. Avec 250 mg de DHA et 50 mg d’EPA par capsule, cette formule premium sous forme triglycérides garantit une excellente assimilation. Elle est idéale pour :
Les personnes suivant une alimentation végétarienne ou vegan
Les étudiants, actifs ou seniors souhaitant soutenir leur fonction cognitive
Les femmes enceintes ou allaitantes (les besoins en DHA sont accrus)
Toute personne soucieuse de préserver sa santé cardiovasculaire ou oculaire
En plus, l’huile est fabriquée en France, selon un procédé breveté garantissant qualité, traçabilité et stabilité à l’oxydation.

Zoom sur notre Oméga-3 Vegan - 60 capsules
Hautement dosées en DHA et EPA issus de microalgues Schizochytrium sp., ces capsules d’Oméga-3 vegan sont un complément alimentaire naturel incontournable pour soutenir le fonctionnement du cerveau, la vision et le bien-être cardiovasculaire. L’huile d’algues utilisée est fabriquée en France selon un procédé breveté permettant de garantir sa haute qualité et sa bonne stabilité à l’oxydation. Les oméga-3 sont des acides gras polyinsaturés essentiels pour la santé.
Découvrir notre Oméga-3 Vegan - 60 capsules
Faut-il prendre des oméga-3 au quotidien ?
Si vous mangez peu ou pas de poisson, la réponse est clairement oui. En prévention ou en soutien actif face aux troubles métaboliques, les oméga-3 EPA/DHA (même en version vegan) s’imposent comme des actifs naturels centraux, soutenus par la recherche scientifique. Ils méritent largement une place dans notre routine santé quotidienne.
Zoom sur notre rédactrice, Solène Bonnet

Solène Bonnet, ancienne responsable éditoriale de Marie Claire Idées, apporte son expertise pointue en stratégie éditoriale et rédaction. Pendant 8 ans, elle a guidé l’équipe de rédaction, veillant à produire des contenus innovants. Maman de deux enfants, elle accorde une attention particulière aux compositions des produits et à tous ces petits détails qui peuvent améliorer le quotidien. Passionnée par une approche authentique et respectueuse de la santé, Solène privilégie des produits à la composition saine, alignés avec une philosophie écoresponsable.
Bibliographie
1
Michalina Banaszak, Małgorzata Dobrzyńska, Anna Kawka, Ilona Górna, Dagmara Woźniak, Juliusz Przysławski, Sławomira Drzymała-Czyż
Role of Omega-3 fatty acids eicosapentaenoic (EPA) and docosahexaenoic (DHA) as modulatory and anti-inflammatory agents in noncommunicable diet-related diseases – Reports from the last 10 years, Clinical Nutrition ESPEN, Volume 63, 2024, Pages 240-258, ISSN 2405-4577, https://doi.org/10.1016/j.clnesp.2024.06.053.