Quels sont les 4 types d'allergies ?

Saviez-vous qu’il existe 4 types d’allergies, chacun bien distincts sur le plan immunologique ? Si les éternuements printaniers ou les démangeaisons cutanées nous sont familiers, les mécanismes en jeu restent souvent méconnus. Comprendre les 4 types d’allergies, c’est déjà un pas vers le soulagement : découvrons ensemble leurs causes, leurs manifestations et des solutions naturelles pour mieux vivre avec.

Par Stéphanie Catrysse
Mis à jour le 08/08/2025Temps de lecture : +4 min.

Allergies et types d'allergies : de quoi parle-t-on ?

Avant de nous intéresser aux 4 types d’allergie, il est essentiel de bien comprendre de quoi il s’agit. Ce terme recouvre en réalité plusieurs mécanismes de défense inappropriés du système immunitaire.

Qu'est-ce qu'une allergie exactement ?

Une allergie désigne une réaction excessive et inappropriée du système immunitaire face à une substance étrangère normalement inoffensive, appelée allergène. Ces allergènes peuvent être de diverses origines : pollens, acariens, poils d’animaux, aliments (comme le lactose ou les arachides), médicaments, métaux, ou encore moisissures. Chez les personnes allergiques, le système immunitaire identifie à tort ces substances comme dangereuses et déclenche une cascade de réactions immunitaires et inflammatoires visant à les éliminer. Cette réponse immunitaire disproportionnée s’accompagne alors de divers symptômes, parfois bénins, parfois graves : éternuements, démangeaisons, conjonctivite, éruptions cutanées, troubles digestifs ou difficultés respiratoires. Dans certains cas, la réaction peut aller jusqu’à un œdème de Quincke ou un choc anaphylactique, mettant en jeu le pronostic vital et nécessitant une intervention médicale urgente. Selon le type d’allergie, les symptômes peuvent apparaître immédiatement après le contact avec l’allergène (en quelques secondes à minutes) ou de manière plus tardive : plusieurs heures voire jours après l’exposition. Ils peuvent toucher différents systèmes de l’organisme : la peau, les voies respiratoires supérieures ou inférieures, le système digestif ou le système nerveux. Les allergies peuvent se développer à tout âge, et leur sévérité varie selon les individus, la fréquence de l’exposition et l’état du terrain immunitaire. Aujourd’hui, la prévalence des allergies est en constante augmentation dans les pays industrialisés, notamment en raison de facteurs environnementaux (pollution, climat, perturbateurs endocriniens), alimentaires (transformations, additifs) et d’un mode de vie de plus en plus aseptisé, qui perturberait la maturation du système immunitaire.

4 types d'allergies sont à distinguer

Le Pr Philip Gell et le Dr Robin Coombs ont proposé une classification des réactions allergiques en quatre grands types d’hypersensibilité, selon le mécanisme immunitaire impliqué.

  • Type I : Allergie immédiate (hypersensibilité de type I) : c’est le type d’allergie le plus courant. Il repose sur la production d’anticorps IgE (immunoglobulines E) spécifiques dirigés contre un allergène. Lors d’un nouveau contact avec ce dernier, les IgE déclenchent la libération de médiateurs chimiques (dont l’histamine), à l’origine des symptômes. Ce mécanisme est impliqué dans l’asthme allergique, la rhinite, l’urticaire, les allergies alimentaires ou encore les réactions anaphylactiques. La réaction survient très rapidement, dans les minutes qui suivent l’exposition à l’allergène.

  • Type II : Réaction cytotoxique (hypersensibilité de type II) : ce type implique des anticorps IgG ou IgM dirigés contre les cellules de l’organisme elles-mêmes, souvent modifiées par un médicament ou un antigène. L’organisme produit donc des anticorps dirigés contre ses propres cellules.  Ces cellules sont alors reconnues comme étrangères et détruites par le système immunitaire. Ce mécanisme est notamment impliqué dans certaines réactions aux médicaments (ex. : allergies à la pénicilline), les transfusions sanguines incompatibles, mais aussi dans certaines pathologies auto-immunes telles que les anémies hémolytiques ou le purpura thrombopénique.

  • Type III : Réaction par complexes immuns (hypersensibilité de type III) : elle survient lorsque des complexes immuns (antigène-anticorps) se forment en excès dans la circulation sanguine et se déposent dans les tissus (reins, articulations, peau…), entraînant alors une inflammation locale. Ce type de réaction est plus rare et se retrouve dans certaines pathologies auto-immunes comme le lupus érythémateux systémique ou la polyarthrite rhumatoïde, ainsi que dans la maladie sérique, survenant après l’injection de certains sérums ou vaccins.

  • Type IV : Allergie retardée ou cellulaire (hypersensibilité de type IV) : contrairement aux autres types, cette réaction ne fait pas intervenir d’anticorps, mais des lymphocytes T. Elle est dite « retardée » car les symptômes apparaissent entre 24 et 72 heures après l’exposition à l’allergène. Ce mécanisme est retrouvé dans les allergies de contact (au nickel, au latex, aux cosmétiques), certaines réactions cutanées médicamenteuses ou encore dans la dermatite atopique. La lenteur de la réaction rend parfois l’identification de l’allergène plus complexe.

Pourquoi cette classification est-elle utile ?

Cette classification des réactions allergiques par Gell et Coombs permet aux professionnels de santé de mieux diagnostiquer et adapter les traitements selon le type de réponse immunitaire impliquée. Par exemple, les antihistaminiques sont particulièrement efficaces contre les réactions de type I, mais peu utiles dans les allergies de type IV. Elle aide aussi à orienter les examens complémentaires (tests cutanés, dosage d’IgE, etc.) et à comprendre pourquoi certains traitements fonctionnent dans certains cas et pas dans d’autres. Pour les patients, cela offre une meilleure compréhension des mécanismes en jeu, un levier essentiel pour mieux gérer leurs allergies au quotidien.

Bon à savoir : toutes les réactions à un aliment ou à une substance ne relèvent pas forcément d’une allergie. Une intolérance (au lactose, par exemple) n’implique pas le système immunitaire, mais un trouble digestif, souvent enzymatique. Quant à la sensibilité (comme au gluten, sans maladie cœliaque), elle reste mal comprise mais peut entraîner des symptômes variés. Seul un professionnel de santé pourra établir un diagnostic précis.

Quelles peuvent-être les causes d'une allergie ?

L’origine d’une allergie - quel que soit son type - est multifactorielle, mêlant prédisposition génétique, facteurs environnementaux, mode de vie et état du microbiote intestinal. Plusieurs éléments peuvent, seuls ou combinés, favoriser l’apparition ou l’aggravation d’une réaction allergique :

Les prédispositions génétiques (terrain atopique)

Un antécédent familial d’allergie augmente fortement le risque de développer une hypersensibilité.

La pollution environnementale

L’exposition chronique aux polluants atmosphériques (particules fines, ozone, dioxyde d’azote), au tabac ou à certaines substances chimiques sensibilise les muqueuses respiratoires et la peau, augmentant leur réactivité.

L’exposition répétée aux allergènes

Un contact fréquent avec des substances telles que les acariens, les pollens, les poils d’animaux, certains aliments (arachide, fruits à coque), les médicaments ou le latex, favorise l'apparition d'une sensibilisation.

Un microbiote intestinal déséquilibré

Une flore intestinale affaiblie, souvent consécutive à une cure d’antibiotiques ou à une alimentation appauvrie, peut perturber la régulation immunitaire et augmenter le risque d’allergie, notamment alimentaire.

Une hygiène excessive dans la petite enfance

Selon la théorie hygiéniste, une faible exposition aux microbes durant les premières années de vie entrave la maturation correcte du système immunitaire, le rendant plus enclin à réagir de manière inappropriée.

Le stress chronique

Il affaiblit les barrières naturelles (muqueuses, peau) et perturbe les régulations immunitaires, ce qui favorise les déséquilibres.

Des déséquilibres hormonaux

La grossesse, la puberté ou certains traitements hormonaux peuvent moduler la réponse immunitaire et influencer la sensibilité allergique.

Un usage excessif de certains médicaments

Les antibiotiques, les antiacides ou certains anti-inflammatoires peuvent perturber l’équilibre du microbiote et affaiblir la tolérance immunitaire.

Une altération de la barrière cutanée ou muqueuse

En cas de peau atopique, d’eczéma ou de muqueuses fragilisées, les allergènes pénètrent plus facilement et déclenchent une réponse immunitaire.

Une alimentation déséquilibrée

Une alimentation pauvre en antioxydants, en fibres ou en acides gras essentiels, ainsi qu'une consommation excessive d'additifs alimentaires, peut contribuer à la dérégulation immunitaire.

Quels sont les symptômes caractéristiques associés à chaque type d'allergie ?

Voici les manifestations typiques selon les 4 types d'allergies :

Type I – Allergie immédiate

  • Éternuements, écoulement nasal, congestion

  • Yeux rouges (conjonctivite), larmoiement

  • Démangeaisons, urticaire

  • Difficultés respiratoires (asthme)

  • Œdème du visage ou des lèvres

  • Troubles digestifs après ingestion (nausées, diarrhées)

  • Réaction anaphylactique (choc, hypotension, gêne respiratoire) : urgence vitale.

Type II – Réaction cytotoxique

  • Fatigue intense, pâleur

  • Anémie aiguë

  • Jaunissement de la peau (ictère)

  • Douleurs abdominales

  • Destruction rapide de cellules sanguines (globules rouges, plaquettes)

  • Ecchymoses, saignements (purpura)

  • Réaction transfusionnelle (fièvre, frissons).

Type III – Réaction par complexes immuns

  • Fièvre prolongée

  • Douleurs articulaires ou musculaires

  • Œdème

  • Éruptions cutanées variées (purpura, nodules)

  • Inflammations d’organes (reins, poumons, etc.).

Type IV – Allergie retardée

  • Rougeur, démangeaisons, eczéma après contact (24 à 72h après exposition)

  • Vésicules ou croûtes au niveau du contact

  • Sécheresse et prurit cutanés

  • Manifestations chroniques (dermatite atopique)

  • Ulcérations ou durcissement localisé selon la sévérité.

Que faire en cas d'allergie ?

La première étape face à une réaction allergique consiste à identifier et éviter rapidement l’allergène responsable. Ensuite, la conduite à tenir dépend de la nature et de la gravité des symptômes.

Réaction légère ou sévère : comment agir ?

Réactions légères à modérées : l’usage d’antihistaminiques permet généralement de soulager les symptômes comme les éternuements, les démangeaisons ou l’urticaire. En cas d’irritation cutanée, des crèmes apaisantes peuvent également être utilisées.

Réactions respiratoires : en cas d’asthme allergique ou de gêne respiratoire, un traitement bronchodilatateur peut s’avérer nécessaire. Il est important de consulter rapidement un professionnel de santé.

Réaction sévère (choc anaphylactique) : il s’agit d’une urgence vitale. Il faut immédiatement appeler les secours (112). Si disponible, l’administration d’adrénaline via un auto-injecteur est primordiale

Après une réaction allergique, un bilan médical est recommandé. Un allergologue pourra confirmer le diagnostic, proposer des tests cutanés ou sanguins, et mettre en place une prise en charge adaptée, notamment une désensibilisation dans certains cas.

Faut-il consulter un allergologue ?

Consulter un allergologue est fortement recommandé en cas de réactions allergiques récurrentes ou sévères. Ce spécialiste pourra identifier précisément les allergènes en cause grâce à des tests spécifiques (prick-tests, patch-tests, dosages sanguins), évaluer la gravité du terrain allergique et proposer une prise en charge sur-mesure. Dans certains cas, une désensibilisation (ou immunothérapie spécifique) peut être envisagée. Elle consiste à exposer progressivement l’organisme à l’allergène afin de réduire sa réactivité. Cette méthode est particulièrement efficace pour les allergies aux pollens, aux acariens ou aux venins d’insectes.

Nos solutions naturelles pour soulager les symptômes légers

Avant tout, il est important de consulter un professionnel de santé pour identifier l’origine de l’allergie et mettre en place un traitement adapté. En parallèle, certaines solutions naturelles peuvent contribuer à atténuer les manifestations allergiques, notamment celles de type I (rhinite, eczéma, asthme). A noter qu'elles ne remplacent pas les traitements médicaux appropriés.

La poudre d’Avoine colloïdale BIO : riche en avénanthramides et en bêta‑glucanes, cette poudre est un véritable anti-irritant pour la peau. Elle aide à calmer les démangeaisons, les rougeurs et les tiraillements. Émolliente et cicatrisante, elle est idéale en bain ou en masque pour apaiser les peaux irritées par une réaction allergique. Utilisée en bain apaisant (1 cuillère à soupe pour bébé, ½ tasse pour adulte) ou intégrée à 5 % dans vos crèmes maison, elle forme un film protecteur tout en maintenant l'hydratation.  Précautions : usage externe uniquement. Ne pas inhaler ni avaler. 

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Le baume relipidant Avoine & Céramide  NP : ce baume associe l’Avoine à des céramides, pour restaurer la barrière cutanée, apaiser les démangeaisons et limiter les rougeurs.  Sa triple action apaisante, relipidante et anti-grattage en fait un soin idéal pour les peaux sèches ou atopiques. Appliquez-le matin et soir sur les zones concernées. Ne pas appliquer sur une peau très irritée ou présentant des lésions suintantes.

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La poudre d’Ortie piquante BIO : naturellement riche en sels minéraux, Fer, vitamines, elle aide à reminéraliser l’organisme, soutient la vitalité et contribue à rééquilibrer les terrains allergiques. L’Ortie possède également des propriétés anti-inflammatoires intéressantes en cas d’allergie. À utiliser en cure de 3 à 4 semaines, sous forme de gélules.

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L'hydrolat de Bleuet BIO : apaisant et anti-inflammatoire, cet hydrolat calme efficacement les yeux irrités, rouges ou gonflés, grâce à ses flavonoïdes et anthocyanes. Utilisez-le en compresses ou brumisations sur les paupières fermées. Il apporte une sensation de fraîcheur et de confort immédiat. Pensez à le conserver au réfrigérateur entre deux utilisations.

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L’huile végétale de Nigelle BIO : connue pour ses propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes, l’huile de Nigelle (ou Cumin noir) aide à apaiser les réactions cutanées, notamment celles d’origine allergique. Elle est particulièrement appréciée pour calmer les démangeaisons, les rougeurs ou les irritations liées à des poussées allergiques ou atopiques. Appliquez localement, pure ou mélangée à une huile plus douce (comme l’Avoine ou la Cameline), en massage léger sur les zones concernées. Faire un test de tolérance avant toute application.

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Comment prévenir les 4 types d'allergies ?

Certains gestes simples permettent de limiter l’apparition ou l’aggravation des réactions allergiques. Voici nos conseils sur les principales habitudes à adopter au quotidien :

  1. Aérez quotidiennement votre habitat, même en ville, afin de pour renouveler l’air et limiter la concentration d’allergènes.

  2. Nettoyez régulièrement les surfaces et les textiles afin de réduire la présence d’acariens, de poussières et de pollens.

  3. Identifiez et limitez les allergènes connus : faites un test allergologique puis adaptez votre environnement (lavage de la literie à 60°C, suppression des peluches, limitation des tapis, etc...).

  4. Évitez les polluants irritants, notamment le tabac et les produits ménagers agressifs ; privilégiez des solutions écologiques et non parfumées.

  5. Adoptez une alimentation anti-inflammatoire, riche en omégas-3, antioxydants, légumes verts, fruits rouges, Curcuma et épices douces.

  6. Privilégiez les matières naturelles pour les vêtements et la literie afin de minimiser les risques d’irritation.

  7. Soutenez votre microbiote intestinal : consommez des fibres (prébiotiques), des aliments fermentés, des probiotiques et variez votre alimentation.

  8. Renforcez vos barrières naturelles : hydratez votre peau, protégez-vous du soleil, entretenez une bonne hygiène nasale.

  9. Apprenez à mieux gérer le stress, qui peut aggraver certains symptômes allergiques : optez pour la relaxation, la cohérence cardiaque, la méditation…

  10. Évitez l’automédication prolongée et consultez un professionnel de santé pour identifier précisément la cause de vos troubles.

Nos recettes ciblées

Infusion au Curcuma

Ingrédients avec balance

Préparation

1

Mettre les poudres dans une boule à thé.

2

Faire bouillir l'eau.

3

Laisser infuser les poudres 7-8 minutes dans l'eau chaude, puis retirer la boule à thé.

4

Ajouter le miel, c'est prêt à être dégusté !


NB : Vous pouvez ajouter quelques gouttes de jus de citron à la fin pour un petit goût acidulé !


Pour le bonheur de vos papilles !

Cette tisane est idéale pour se détendre après un repas copieux.

Gélules confort allergies saisonnières

Ingrédients (avec balance)

Préparation

1

Remplissez les gélules taille 00 avec le MSM, à l'aide du gélulier.


Stockez vos gélules dans une boite hermétique à l’abri de la lumière et chaleur. TENIR LES GELULES HORS DE PORTEE DES ENFANTS.

Réservé à l'adulte.

Éviter de prendre du MSM pendant la grossesse ou l’allaitement, en cours de traitement de chimiothérapie ou en cas de troubles rénaux.

* Conservation : bien conservé et fabriqué dans des conditions d'hygiène optimales, votre produit pourra se conserver au moins 1 mois.

Précautions d'usage

Les conseils proposés ici ne se substituent pas à un avis médical : en cas de doute, de réaction inhabituelle ou de symptômes aigus (difficulté respiratoire, œdème, malaise), consultez immédiatement un professionnel de santé. Avant d'entamer une cure de plantes ou de compléments, assurez-vous de l’absence de contre-indications, notamment en cas de traitement médical, grossesse ou terrain allergique connu. Nous vous conseillons toujours de tester sur une petite zone avant une utilisation large.

Conseil de l'expert

En période d'allergie, pensez à aérer votre logement tôt le matin ou en fin de journée, lorsque la concentration en pollens est plus faible. Évitez également de faire sécher votre linge dehors, il pourrait devenir un piège à allergènes.

En savoir plus

Qu'est-ce qu'une allergie de type 4 ?

Il s’agit d’une réaction retardée (ex. : eczéma de contact), survenant 24 à 72 h après un contact, provoquée par une réponse des lymphocytes T à un allergène spécifique.

Quelle est l'allergie la plus courante ?

L’allergie de type I, aussi appelée allergie immédiate, est de loin la plus fréquente. Elle regroupe des manifestations comme la rhinite allergique, l’asthme, l’urticaire ou encore l’eczéma atopique. Les allergènes les plus souvent en cause sont les pollens, les acariens, les poils d’animaux ou encore certains aliments.

Quels sont les 2 symptômes les plus dangereux lors d'une réaction allergique ?

Le gonflement des voies respiratoires (œdème de Quincke) et le choc anaphylactique, nécessitent une intervention urgente.

Les allergies peuvent-elles disparaître avec l’âge ?

Certaines allergies s’atténuent avec le temps (comme l’allergie au lait chez le nourrisson), mais d’autres persistent ou de nouvelles allergies peuvent apparaître à l’âge adulte.

Article rédigé par Stéphanie Catrysse, Naturopathe

Stéphanie Catrysse est naturopathe (certifiée par la FENA), praticienne en massage bien-être et drainage lymphatique et conseillère en développement personnel. 

Passionnée de médecine douce, elle exerce avec une approche holistique de la santé.

Bibliographie

1

Vidal, « Hypersensibilités et classifications des allergies »

2024

2

MSD Manuals - Revue générale des troubles allergiques et classification de Gell et Coombs

3

Académie nationale de médecine

Dictionnaire médical, définition classification de Gell et Coombs

4

Inserm via myScience

Avancées marquantes 2023 sur les allergies

5

Améli.fr - Reconnaissance d'une allergie,

informations patients

6

OMS - Fiche d'information sur l'asthme

7

Université de Lille

Item 182 Hypersensibilités et Allergies.