Ingrédients (avec balance)
Préparation
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Mettez la poudre de Ginkgo Biloba dans une boule à thé.
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Faites infuser l'ensemble des ingrédients dans l'eau pendant environ 7-8 mn.
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Retirez la boule à thé. C'est prêt !
L’acide urique est un déchet naturellement produit par l’organisme et son taux peut parfois s’élever au-dessus de la normale. Cet excès peut passer inaperçu, mais peut aussi se manifester par des sensations articulaires désagréables, surtout quand l’alimentation est un peu trop riche en purines. Adapter son assiette devient alors un levier essentiel pour soutenir l’équilibre de son corps.
Dans cet article, nous faisons le point sur le lien entre alimentation et acide urique, les aliments à privilégier ou à limiter, ainsi que des habitudes simples du quotidien pour accompagner votre bien-être.

L’acide urique est une substance produite lorsque l’organisme dégrade les purines, des composés naturellement présents dans les cellules et dans de nombreux aliments. En temps normal, il circule dans le sang et les reins l’éliminent assez facilement, ce qui permet de garder un taux assez stable. Cet équilibre peut toutefois être perturbé par une alimentation particulièrement riche en purines, une hydratation insuffisante ou un fonctionnement rénal moins efficace. Lorsque le taux d’acide urique est élevé, on parle d’hyperuricémie : cette situation peut favoriser, chez certaines personnes, la formation de cristaux d’urate dans les tissus. C’est pourquoi l’alimentation et l’hygiène de vie jouent un rôle essentiel pour soutenir un bon équilibre au quotidien.
L’alimentation influence directement la quantité d’acide urique produite par l’organisme, car une partie provient des purines présentes dans certains aliments. Lorsque l’assiette est riche en viandes, abats, charcuteries, poissons gras ou boissons alcoolisées, l’uricémie peut augmenter plus facilement. À l’inverse, une bonne consommation de fruits et légumes, associée à une hydratation régulière contribuent à maintenir un meilleur équilibre.
Modifier un peu son alimentation peut déjà aider à réduire l’apport en purines et, au passage, à mieux comprendre comment son corps réagit au quotidien.
Un taux élevé d’acide urique peut longtemps passer inaperçu, mais certaines manifestations peuvent apparaître chez certaines personnes.
Douleurs articulaires soudaines, souvent localisées au gros orteil, parfois accompagnées d’une gêne importante.
Inflammation locale avec rougeur, chaleur et gonflement autour d’une articulation.
Sensibilité et raideur, qui rendent certains mouvements plus difficiles.
Formation possible de calculs urinaires, qui vont de pair avec la cristallisation de l’acide urique dans les voies urinaires.
Ces signes peuvent vraiment varier d’une personne à l’autre, ce qui montre bien l’intérêt d’ajuster petit à petit son mode de vie.
L’objectif n’est pas de supprimer toutes les purines, mais plutôt d’identifier les aliments qui pourraient augmenter l’uricémie et ceux qui permettent de garder un équilibre.
Les aliments à limiter
Certains aliments sont naturellement plus riches en purines ou sont connus pour limiter l’élimination de l’acide urique. C’est le cas des abats, des viandes grasses, de la charcuterie et de certaines variétés de poissons comme les sardines ou les anchois. La bière (même sans alcool) et les boissons sucrées (riches en fructose), peuvent également contribuer à une augmentation du taux d’acide urique. Leur consommation ponctuelle est possible, mais la modération est recommandée pour soutenir l’organisme.
Les aliments à privilégier
À l’inverse, une alimentation riche en fruits et légumes variés représente un apport intéressant. Les aliments apportant de la vitamine C, comme les agrumes, les kiwis ou les poivrons, participent au bon fonctionnement général de l’organisme et peuvent s’intégrer facilement dans une alimentation compatible avec l’équilibre de l’acide urique. Les produits laitiers légers, les céréales complètes et une bonne hydratation au fil de la journée s’intègrent aussi très bien dans ce type d’alimentation. Une étude (3) suggère également qu’une consommation modérée de café pourrait s’accompagner d’un meilleur équilibre de l’acide urique.
En résumé : Une alimentation qui limite la quantité d'acide urique dans le sang est synonyme de variété et modération : favoriser les végétaux et les produits laitiers légers, privilégier des protéines plus maigres et limiter les aliments particulièrement riches en purines. Ce sont ces ajustements progressifs qui contribuent le plus facilement au maintien d’un bon équilibre.
Quelques habitudes toutes simples peuvent déjà aider au quotidien, notamment du côté de l’alimentation et de l’hydratation.

Un apport suffisant en vitamine C est souvent mis en avant dans l’alimentation lorsqu’on cherche à maintenir un bon équilibre. Une étude s’est également penchée sur son lien avec l’acide urique (2), ce qui explique pourquoi elle revient souvent lorsqu’on parle d’alimentation. La Vitamine C optimisée en poudre, issue d’agrumes et associée à des lipides végétaux pour une assimilation douce, peut s’intégrer dans une routine bien-être, en complément d’une alimentation variée.
Les compléments alimentaires ne remplacent pas une alimentation variée et un mode de vie équilibré. Il est important de respecter la portion journalière recommandée et de tenir le produit hors de portée des enfants. Ce type de complément est réservé à l’adulte et, en cas de grossesse ou d’allaitement, il est préférable de demander l’avis d’un professionnel de santé avant toute utilisation.

Riche en vitamine C naturelle et en fibres, la poudre de Baobab BIO peut être utilisée comme ingrédient dans les smoothies ou les préparations maison pour enrichir l’alimentation en nutriments. C'est un complément alimentaire agréable pour diversifier l’assiette au quotidien.
Tenir ce produit hors de portée des enfants. Évitez de l’utiliser près d’une source de ventilation et de le laisser entrer en contact avec les yeux. En cas de projection, rincez abondamment à l’eau claire. Il est recommandé de réaliser un test dans le pli du coude 48 heures avant la première utilisation.

Boire régulièrement est l’un des gestes les plus simples pour soutenir l’hydratation et accompagner les fonctions naturelles de l’organisme. Une infusion comme la Menthe, peut rendre l’hydratation plus agréable tout au long de la journée, notamment en alternative aux boissons sucrées.
Déconseillé en cas d’allergie connue à l’une des plantes qui composent cette infusion.
Prévenir les variations d’acide urique ne repose pas sur des restrictions ponctuelles, mais sur l’adoption d’un mode de vie équilibré et régulier. L’idée, au fond, c’est de garder une alimentation variée et de penser à bien s’hydrater pour aider le corps à fonctionner au mieux.
Maintenir une bonne hydratation
Une hydratation régulière est l’un des gestes les plus simples et les plus efficaces pour soutenir l’élimination naturelle des déchets par les reins. Boire 1,5 à 2 litres d’eau par jour facilite ce processus et limite les variations d’acide urique. Les eaux bicarbonatées peuvent également s’intégrer dans la routine, car elles rendent les urines plus alcalines, ce qui aide à maintenir un bon équilibre.
Adopter une alimentation variée et modérée
Miser sur la variété est essentiel. Comme nous l'avons vu, réduire la consommation d’aliments riches en purines, comme les abats, certaines charcuteries, les crustacés ou l’alcool, peut aider à limiter les apports excessifs. À l’inverse, privilégier les fruits et légumes frais, les produits laitiers faibles en graisses et les protéines maigres contribue à équilibrer l’assiette tout en apportant des nutriments utiles au quotidien. Ces ajustements, intégrés progressivement, favorisent une alimentation compatible avec un bon équilibre de l’acide urique.
Maintenir un poids stable
Un poids stable soutient le bon fonctionnement métabolique. Le surpoids peut réduire l’efficacité de l’élimination rénale, tandis que les régimes très restrictifs ou les pertes de poids rapides ne sont pas recommandés : ils peuvent entraîner une dégradation accélérée des protéines corporelles. Des changements alimentaires doux et durables restent l’approche la plus adaptée.
Limiter les sucres ajoutés et l’alcool
Les boissons sucrées riches en fructose (sodas, jus industriels) et l’alcool, en particulier la bière, sont associées à une augmentation de la production d’acide urique. Les consommer avec modération permet de soutenir plus facilement l’équilibre global.
Privilégier une activité physique régulière
Une activité physique douce et régulière (marche, vélo, natation) contribue à maintenir un poids de forme et à soutenir un métabolisme harmonieux. Elle aide aussi à mieux gérer le stress, un facteur pouvant influencer de nombreux paramètres du bien-être général.

Infusion au ginkgo et au miel
Pour 2 infusions
1
Mettez la poudre de Ginkgo Biloba dans une boule à thé.
2
Faites infuser l'ensemble des ingrédients dans l'eau pendant environ 7-8 mn.
3
Retirez la boule à thé. C'est prêt !

Infusion au Curcuma
Ingrédients avec balance
1
Mettre les poudres dans une boule à thé.
2
Faire bouillir l'eau.
3
Laisser infuser les poudres 7-8 minutes dans l'eau chaude, puis retirer la boule à thé.
4
Ajouter le miel, c'est prêt à être dégusté !
NB : Vous pouvez ajouter quelques gouttes de jus de citron à la fin pour un petit goût acidulé !
Pour le bonheur de vos papilles !
Cette tisane est idéale pour se détendre après un repas copieux.
Même si l’alimentation joue un rôle important dans l’équilibre de l’acide urique, quelques précautions peuvent aider à avancer en douceur :
Éviter les régimes trop restrictifs, notamment les jeûnes prolongés ou les régimes très riches en protéines, qui peuvent entraîner une dégradation rapide des protéines corporelles.
Surveiller les apports en vitamine C, 7, car des doses très élevées peuvent ne pas convenir à certaines personnes, notamment celles prédisposées aux calculs oxaliques.
Prendre en compte les situations particulières, comme une fonction rénale en difficulté, qui nécessite un suivi médical.
Limiter l’alcool et les boissons très sucrées, surtout celles riches en fructose, car elles sont associées à une augmentation de la production d’acide urique.
Ces conseils n’ont pas vocation à évincer de manière excessive certains aliments, mais à accompagner progressivement une alimentation plus variée et un mode de vie équilibré.
Commencez par de petites étapes simples : remplacez l’un de vos repas à base de viande par une source de protéines plus légère, ajoutez chaque jour une portion de légumes colorés dans votre assiette et gardez toujours une bouteille d’eau à portée de main. Ces ajustements progressifs s’intègrent facilement au quotidien et soutiennent naturellement une alimentation plus équilibrée.
Quel légume manger quand on a de l’acide urique ?
La plupart des légumes peuvent être consommés sans difficulté. Les courgettes, brocolis, épinards, carottes ou haricots verts s’intègrent très bien dans une alimentation variée et soutiennent un mode de vie équilibré grâce à leur richesse en fibres et en micronutriments.
Quels sont les aliments à éviter pour l’acide urique ?
Les aliments les plus riches en purines sont ceux à limiter : abats, viandes grasses, charcuterie, certains poissons (sardines, anchois), fruits de mer et bière. Les boissons sucrées riches en fructose sont également associées à une augmentation de la production d’acide urique. Leur consommation modérée aide à maintenir un meilleur équilibre.
Quel menu type privilégier en cas d’acide urique élevé ?
Un menu simple et adapté peut inclure : un petit-déjeuner à base de fruits frais et de produits laitiers faibles en graisses ; un déjeuner composé de légumes colorés, de céréales complètes et d’une source de protéines plus légères (volaille, œufs) ; un dîner centré sur les végétaux, une soupe maison ou une salade variée. L’hydratation régulière tout au long de la journée reste essentielle pour accompagner ces choix.

Delphine DUC, ingénieure biologiste spécialisée en cosmétologie, le domaine de la cosmétique me passionne depuis presque 10 ans. J'ai commencé à faire mes cosmétiques maison grâce aux produits Aroma Zone pour régler mes problèmes de peau, puis j'ai décidé de me former sur le sujet en tant que cosmétologue et enfin de créer une marque de cosmétiques sur-mesure pour répondre aux problématiques de peau de chacun(e).
1
Choi HK, Curhan G. Epidemiology of gout. Rheum Dis Clin North Am. 2014;40(2):155-75.
2
Choi HK, Gao X, Curhan G. Vitamin C intake and the risk of gout in men: a prospective study. Arch Intern Med. 2009;169(5):502-7.
3
Choi HK, Willett W, Curhan G. Coffee consumption and risk of incident gout in men: a prospective study. Arthritis Rheum. 2007;56(6):2049-55.
4
Girou Jayet de Gercourt T. Prise en charge de l’hyperuricémie en médecine générale : approche qualitative. Médecine humaine et pathologie. 2018.