Bronzer sans UV : et si cette nouvelle génération de soins changeait tout ?
Un teint hâlé, lumineux, sans le moindre rayon de soleil : ce n’est plus un mythe. Grâce à des actifs d’origine naturelle et des formules intelligentes, les autobronzants nouvelle génération offrent aujourd’hui une alternative crédible, efficace et sûre à l’exposition solaire. Zoom sur les gouttes autobronzantes, ce geste sur mesure qui révolutionne notre rapport au bronzage.

Le bronzage sans soleil : comment ça fonctionne ?
Loin des produits à l’odeur marquée et aux résultats hasardeux d’autrefois, les soins sans UV reposent sur une technologie maîtrisée.
Un effet doré progressif et naturel
Deux actifs clés sont à l’œuvre : la DHA (dihydroxyacétone) et l’érythrulose, tous deux issus de sucres naturels. Ils réagissent avec les acides aminés de la couche cornée pour créer une coloration dorée en quelques heures. Pas de bronzage artificiel, mais un hâle modulable, sans UV ni stress oxydatif.
Des formules qui révèlent l’éclat
Les dernières générations de soins autobronzants vont plus loin : extraits d’algue brune, oligo-éléments… Ces ingrédients boostent l’éclat naturel de la peau et prolongent l’effet bonne mine, pour un teint frais et lumineux, jour après jour.
Zéro exposition, zéro dommage cutané
Le principal avantage ? La peau ne subit aucune agression solaire. Ce type de soin convient donc aux peaux claires, sensibles, réactives ou sujettes aux taches. Il permet de préserver son capital soleil, tout en obtenant un effet bronzé à la demande.
Un hâle sur mesure, à tout moment de la journée
Avec les gouttes autobronzantes, le bronzage devient un soin à part entière. Il s’intègre dans la routine beauté avec une précision inédite.
Le matin, 1 à 4 gouttes dans votre crème pour un éclat discret.
En journée, on ajuste le nombre de gouttes selon l’intensité désirée.
Le soir, l’effet hâlé se développe pendant la nuit, pour un réveil lumineux.
Le bon geste : les gouttes autobronzantes Aroma-Zone
Certifiées BIO, ces gouttes associent DHA naturelle, érythrulose, extrait d’algue brune et oligo-éléments pour un bronzage progressif, uniforme et sans trace. Leur texture fluide s’intègre à tous les soins et permet un dosage ultra-précis :
1 à 4 gouttes : effet bonne mine
4 à 8 : hâle doré naturel
8 à 12 : bronzage intense
Le teint est réchauffé en 24h, sans parfum, sans conservateur, et adapté aux peaux sensibles

Zoom sur les Gouttes autobronzantes
Ces gouttes autobronzantes certifiées BIO offrent un hâle progressif, naturel et sans trace, sans exposition au soleil. Elles s'intègrent facilement dans vos soins visages et corps. Enrichies en DHA et Erythrulose pour colorer la peau en surface, elles associent un extrait d’algue brune et des oligo-éléments pour stimuler la synthèse de mélanine et prolonger l’effet bonne mine.
À faire soi-même : un sérum autobronzant maison
Envie de créer votre propre soin ? Voici une recette simple et efficace :
Ingrédients :
30 ml de Sérum concentré d’Acide hyaluronique 3,5 %
2,9 ml de Gouttes autobronzantes
1 goutte de fragrance naturelle Ananas des îles
Mode d’emploi : appliquez le soir sur le visage et le cou, avant votre crème. Le teint se dore naturellement pendant la nuit. Bien se laver les mains après application.
Adopter un bronzage sans UV, c’est réconcilier éclat, sécurité et naturalité. C’est surtout une nouvelle manière de prendre soin de sa peau, sans compromis.
Zoom sur notre rédactrice spécialisée, Laetitia de Rosa

Consultante en communication éditoriale, Laetitia est spécialisée dans la création de contenus beauté et bien-être. Passionnée par la cosmétique naturelle, elle accompagne des marques engagées qui partagent sa vision d'une beauté authentique et responsable. Toujours à l'affût des dernières nouveautés, elle aime décrypter les tendances et innovations du secteur.
Bibliographie
1
Martini, M.-C. (2017), Autobronzants et bronzants artificiels, EMC – Cosmétologie et Dermatologie Esthétique. https://doi.org/10.1016/j.annder.2017.03.021
2
Turner, J. et al. (2023), In search of the perfect tan, Journal of Cosmetic Dermatology. DOI: 10.1111/jocd.14968




























